Plus de places pour se stationner
Le conseil d’arrondissement de la Cité-Limoilou a adopté mardi soir deux ordonnances qui concernent le stationnement sur l’avenue Cartier et l’avenue des Laurentides dans le quartier Montcalm. Dorénavant, un véhicule aura le droit de se stationner sur le débarcadère situé en face de l’épicerie Provisions inc pour une durée de 15 minutes maximum. La demande de Provision est due à plusieurs plaintes de ses clients qui ont reçu des contraventions pour s’être stationnés à cet endroit pour faire une course à l’épicerie.L’ancien règlement sur la circulation et le stationnement prévoyait que l’automobiliste immobilisé dans une zone débarcadère devait effectuer une activité d’embarquement ou de débarquement de personnes ou de marchandises. Si tel n’est pas le cas, un policier ou un agent de stationnement était en mesure de remettre un billet d’infraction après trois minutes d’inactivité autour du véhicule.Huit nouvelles cases de stationnement ont été créées sur l’avenue des Laurentides à la place des stationnements réservés au Consulat de France jusqu’à présent. Les détenteurs de vignette de la zone 4 pourront s’y stationner. Ce changement a été autorisé puisque les véhicules consulaires de la France se garent sur l’avenue des Braves.
Une consultation publique à prévoir au conseil du quartier Saint-Sacrement
Le propriétaire de l’immeuble situé au 1535, chemin Sainte-Foy dans le quartier Saint- Sacrement souhaite changer le zonage de son immeuble afin de rendre conforme le centre de conditionnement physique. Pour l’instant, le zonage autorise les usages du groupe «C2 vente au détail et services» qui comprend un centre de conditionnement physique d’une superficie de plancher de 200 m2 ou moins.Toutefois, la demande du requérant est d’opérer un centre de conditionnement physique d’une superficie de plus de 200 m2 soit de 335 m2.Cet usage est classé «C3 lieu de rassemblement» et n’est pas autorisé dans la zone. L’usage actuel de centre de conditionnement physique est donc non conforme au zonage.Le requérant souhaite donc que la réglementation soit modifiée afin de lui permettre de poursuivre ses activités de « centre de conditionnement physique » (C3).
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