Le conseil de quartier de Montcalm donne le feu vert au Blaxton

Le conseil de quartier de Montcalm a accueilli de manière favorable une demande d'opinion de la part du propriétaire du restaurant Blaxton de la l'avenue Cartier, lors de sa rencontre du 24 novembre. Les responsables du resto-bar souhaitent convertir le sous-sol de leur établissement pour l'offrir en location à un tiers.

Le conseil de quartier de Montcalm donne le feu vert au Blaxton | 25 novembre 2020 | Article par Julie Rheaume

Le Blaxton, sur l'avenue Cartier.

Crédit photo: archives

Le conseil de quartier de Montcalm a accueilli de manière favorable une demande d’opinion de la part du propriétaire du restaurant Blaxton de la l’avenue Cartier, lors de sa rencontre du 24 novembre. Les responsables du resto-bar souhaitent convertir le sous-sol de leur établissement pour l’offrir en location à un tiers.

Le bâtiment situé au 1173-1179 de l’avenue Cartier abrite le Blaxton au sous-sol et au premier étage. Des logements occupent les niveaux supérieurs.

Le propriétaire souhaite concentrer les activités du Blaxton au premier étage afin de louer le sous-sol à un autre commerce pour des motifs économiques, a-t-on exposé lors du conseil de quartier de Montcalm du 24 novembre.

En accord

Au terme de certains questionnements, entre autres, sur l’offre et la diversité commerciales sur l’avenue Cartier, les membres du conseil de quartier ont finalement offert une opinion favorable à la demande de modification au zonage du propriétaire du Blaxton.

« Je n’ai pas d’objection à une telle demande », a notamment indiqué Jean Rousseau, conseiller municipal du district du Cap-aux-Diamants et chef de Démocratie Québec, lors de la rencontre.

La requête effectuée par le Blaxton devra ensuite faire son chemin au conseil d’arrondissement et dans les dédales municipaux avant d’être acceptée formellement par la Ville.

Usages

En vertu de la réglementation en vigueur, le local au sous-sol du Blaxton ne pourrait pas accueillir un autre restaurant ou bar.

Il pourrait toutefois héberger un commerce de vente au détail et services, une industrie artisanale, une entreprise de haute technologie, un établissement de soins de santé sans hébergement (par exemple, une clinique médicale ou un bureau de psychologue) ou un organisme de type « culture et patrimoine », tels un musée ou une bibliothèque.

Le futur usage n’a pas encore été déterminé par le propriétaire des lieux, a-t-on appris le 24 novembre. Ce dernier possède à la fois le restaurant et la bâtisse, a-t-on précisé lors de la rencontre.

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« On ne peut pas dire ce qu’on veut, mais on peut dire ce qu’on ne veut pas », a notamment commenté le conseiller en urbanisme de la Ville de Québec Michel Hubert lors de la séance, à propos du type de commerce qui sera accepté par la municipalité au sous-sol du bâtiment.

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