Depuis la fin du mois d’octobre, la pizzéria Attaboy s'est dotée une nouvelle succursale sur la rue Cartier. Monmontcalm s’est entretenu avec Martin Lepoutre, propriétaire et fondateur du restaurant, pour discuter de l’arrivée du commerce dans le quartier et du chemin parcouru depuis le début du projet.
Attaboy s’ancre peu à peu dans Montcalm
Depuis la fin du mois d’octobre, la pizzéria Attaboy s’est dotée une nouvelle succursale sur la rue Cartier. Monmontcalm s’est entretenu avec Martin Lepoutre, propriétaire et fondateur du restaurant, pour discuter de l’arrivée du commerce dans le quartier et du chemin parcouru depuis le début du projet.
Cinq ans après l’ouverture de la première succursale d’Attaboy sur la rue Saint-Jean, Martin sentait qu’il n’y avait pas d’offre similaire dans Montcalm. Lui et son nouveau partenaire d’affaires Gontran ont donc commencé à chercher un local. Ils se sont finalement installés sur l’avenue Cartier, là où se trouvait anciennement le Lavoir Cartier.
Les deux amis veulent offrir à leur clientèle l’accès à une pizzéria de quartier rapide et fiable. Le menu est le même que sur Saint-Jean. Il se compose d’aliments frais, faits maison et offerts à un prix raisonnable.
« Je pense que la vocation d’Attaboy, ça a toujours été d’offrir le meilleur rapport qualité prix », souligne Martin.
L’achalandage croît tranquillement depuis l’ouverture. Martin se dit satisfait et heureux de voir que la pizzéria s’implante peu à peu dans le quartier.
« Pour l’instant c’est encourageant, les clients reviennent et c’est motivant », confie l’entrepreneur.
La production est centralisée sur Saint-Jean. Tous les éléments qui composent les pizzas sont préparés dans la cuisine de la succursale principale et envoyés sur Cartier, où il ne reste plus que l’assemblage à faire.
Les débuts
En cinq ans, l’entreprise a parcouru un bon bout de chemin. Martin se remémore le tout début du projet. Il discutait autour d’une bière à la Ninkasi avec son ami Yani Hébert. « On s’est dit qu’on allait ouvrir une pizzéria à la pointe parce qu’à l’époque, c’était une offre qui manquait à Québec».
Une semaine plus tard, Martin trouvait le local et commençait les travaux qui allaient s’étirer sur deux mois.
« Sauf que 10 jours avant l’ouverture, on ne savait toujours pas comment faire de la pizza. On est allé chercher tous les livres sur la pizza à la bibliothèque et on a fait des tests pour trouver notre recette. »
Il était important pour les deux amis d’arriver à reproduire l’ambiance d’un café dans leur pizzéria. L’idée étant de mettre de l’avant la relation avec la clientèle en créant un espace de partage.
Être dynamique dans son environnement
Martin explique avoir toujours tenté d’être le plus actif possible dans sa communauté. Au fil des ans, la pizzéria a organisé plusieurs événements visant à redonner à des organismes du quartier.
En ce sens, pour la période des Fêtes, l’équipe a mis sur pied la campagne Noël Attaboy. Pour chaque pizza vendue les jeudis 30 novembre, 7 et 14 décembre, Attaboy donnera une pizza au Centre famille Haute-Ville.
Dès le début janvier débuteront les jeudis en musique. Des prestations musicales d’artistes de Québec auront lieu dans les locaux d’Attaboy, sur la rue Saint-Jean.
« C’est pas la première fois qu’on va présenter de la musique. L’an dernier Dogo Suicide a enregistré un live session à la pizzéria », se rappelle Martin.
Les deux succursales d’Attaboy sont ouvertes tous les jours, de 11h à 21h.
Lire aussi :
Notes de goût : café et desserts ukrainiens sur Cartier
Les journées frisquettes de novembre vous donnent sans doute le goût de vous réfugier à[...]
Soutenez votre média
Contribuez à notre développement à titre d'abonné.e et obtenez des privilèges.