Florence Brouillard fait officiellement l'acquisition de Brouillard et succède à son père Jean à la présidence de la firme de communications.
Brouillard reste dans la famille
Florence Brouillard fait officiellement l’acquisition de Brouillard et succède à son père Jean à la présidence de la firme de communications.
Cette transaction émeut profondément le fondateur de Brouillard.
« Florence réalise aujourd’hui (mercredi) l’un de mes plus grands rêves : la pérennité de mon bébé », souligne Jean Brouillard dans un communiqué.
Entre de bonnes mains
Sa fille occupe déjà la direction générale depuis deux ans. Elle aussi a Brouillard « tatoué sur le coeur », comme son papa.
« Mais la passion ne peut être suffisante pour se lancer en affaires avec les difficultés et les risques que cela implique », reconnaît cependant la principale intéressée.
Ainsi, c’est la volonté d’être sa propre patronne et d’être libre de donner la direction qu’elle souhaite à l’entreprise, qui la pousse à compléter ce processus de repreneuriat.
Jamais bien loin
Le paternel conservera, quant à lui, le poste de mentor et de conseiller spécial de l’entreprise, du moins « pour quelques années » encore.
Fondée en 1988, la firme de Québec relève donc depuis plus de 35 ans des opérations de communications pour ses clients. À ce jour, cette agence de relations publiques et de presse a relevé près de 10 000 mandats.
Sous la gouverne de Florence, l’équipe entièrement féminine de Brouillard a déménagé l’an dernier dans de nouveaux locaux sur la Grande-Allée, dans le quartier Montcalm.
De grandes ambitions pour l’avenir
Impliquée dans l’entreprise familiale depuis plus de 10 ans, la jeune femme âgée de 32 ans vise toujours les plus hauts sommets.
« Brouillard a énormément évolué au cours des cinq dernières années et ce n’est qu’un début. Ma tête fourmille constamment de nouvelles idées et nous avons le vent dans les voiles pour les mener à terme », affirme-t-elle, convaincue.
Jean Brouillard estime, pour sa part, que sa fille possède tous les atouts pour faire grandir la compagnie.
« Je lui souhaite les plus grands succès et je me souhaite de pouvoir en être le principal témoin le plus longtemps possible », conclut-il.
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